L'Indépendant - 22 mars 1985
En regardant la peinture de l’artiste, une pensée nous viens à l’esprit « Sa peinture est une poésie qui se voit,
au lieu de se sentir ».Il sait tirer le beau et le bien de la nature et la traduire d’une manière admirable.
La Voix du nord « Art et Culture » - 23 mai 1985
Il nous semble que cet artiste vient de briser quelque chose, qui le tenait en dehors de la couleur. Il connaît
aujourd’hui les mêmes émotions qu’un flûtiste aux harmonies pianistiques.
Midi Libre – 22 janvier 1986
L’art de l’aquarelle, une technique noble, donnant un bon rapport entre nature et les choses qu ’Albert Le Diuzet
maîtrise et dans lequel il goûte les joies et les rêves de la vie.
Le Provençal – 9 mars 1986
En partant de notations colorées, entrevues ou ressenties, l’artiste crée une série d’aquarelles qui appartiennent
à un « imaginé » d’une poésie nostalgique. Le style, d’une incontestable unité, est marqué par la tentation du
rêve, la recherche de l’évasion pour surmonter un quotidien aux multiples agressions.
ARTAIX
Journal de Millau – 10 mai 1987
Une technique très personnelle de l’aquarelle, où le blanc brut du papier tranche nettement sur la couleur,
comme une déchirure, accrochant un éclat choc aux diverses créations. L’artiste pose parfois des détails précis
qui ne sont pas loin de faire penser à certaines eaux-fortes. Il s’agit en quelque sorte, d’un automatisme dirigé
dans une profusion de tons sereins. Albert Le Diuzet apporte l’évasion avec ses paysages d’un autre monde
celui du silence et d’une paix profonde caressé par la brise marine.
Louis BRETOU
Le Républicain Lorrain - 16 octobre 1987
Les aquarelles d’Albert Le Diuzet nous invitent à l’évasion du quotidien, dans des paysages inhabituels
marqués par une paix profonde et par l’amour de la mer. L’artiste retrouve son identité et le souffle nouveau
qui anime ses aquarelles.
Jean-Paul. DIVO
La voix du Nord - 22 avril 1989
En regardant ses paysages, on croit entendre l’eau frémir et le vent chanter dans les feuilles.
Albert Le Diuzet a une sensibilité qui s’exprime de façon totalement originale.
Liberté - 3 décembre 1992
La démarche actuelle de sa peinture se trouve dans les lignes, la fragilité de ses paysages aquarellés
qui sont toujours ressenties par le public avec beaucoup d’émotions.
Le Télégramme - 20 mars 1995
Albert Le Diuzet en terre Bretonne ou il puise dans l’inconscient les sources de ses inspirations aquarellés
Une atmosphère très poétique nous ne pouvons mieux faire que citer ce prologue pour ses aquarelles qui
nous enchantent et nous délient du quotidien.
Le Parisien - 13 décembre 2007
Son art de l’aquarelle n’appartient qu’a lui chaque tableau est un songe, un refuge, une oasis de calme
et de sérénité, de douceur. Une mission qui habite chacune de se admirables aquarelles qui nous invitent
à l’évasion dans ses paysages d’un autre monde, un monde de silence, de paix profonde, presque sous-marin.
MIDI LIBRE - 17 novembre 2010
Albert Le Diuzet cherche à faire de chaque tableau un havre de paix.Il cherche ainsi à apporter le rêve régénérateur
dans une société matérialiste et traumatisante. La mer, de par ses origines, l'inspire et il y trouve le reflet,
l'identité ou un nouveau souffle de vie.Lors du vernissage M. Henry Fricou Maire de MEZE a souligné toute
l'étendue d'un talent aux multiples facettes.Photographe,chanteur,et peintre,Albert Le Diuzet est en effet un
artiste complet.Primé à plusieurs reprises pour ses aquarelles,il expose aujourd'hui une nouvelle série de tableaux
travaillé au couteau.
Paris - 2012
Albert le Diuzet plonge dans la mémoire de l’inconscient, qui vogue à travers ses marines contemporaines.Mère et Mer de font qu’un : Nature foetale, initiale, Albert l’éprouve en peinture, dans cette quête,ou plutôt reconquête del’infinité abstraite.Il nous égare dans une rêverie intense, devant droites et courbes,à l’allure aussi prompte que les coques et les mâts qu’il auréole du souffle de ses couteaux et spatules.
Célia Decalonne.
le dauphiné libéré - jeudi 24 avril 2014
Le nom de ses tableaux donne le tempo de cette exposition "Entre terre et mer".Albert Le Diuzet a ses origines bretonnes par son pére,raison pour laquelle,peut-être,il fait des mâts le point central des oeuvres qu'il présente à la galerie de l'espace culturel Leclerc.
Verticalité des mâts,ligne d'horizon, et le travail au couteau d'un geste définitif et hardi pour la couleur.Il a posé ses teintes directement sur la lame de langue de chat ou de la spatule, voire la truelle qu'il a fabriqué,assez souple pour suivre le geste qu'il lui imprime,assez ferme pour y résister et placer,en subtils mélanges, des pigments d'huile fine d'un seul mouvement installé.Ses fonds, du moins les plus récents, sont travaillés dans le diffus que dix années d'aquarelle lui ont donné.
A 16 ans,Albert Le Diuzetdécouvre la peinture et s'initie, en autodidacte, jusqu'a intégrer les Beaux arts de Dunkerque.Depuis, il a pris le contre-pieds de l'instruction,choisissant sciemment d'aller du foncé vers le clair, brouillant ainsi les usages pour donner de la force de son ouvrage."sans construction,ni retouche,laissant la part de l'inconnu" ainsi va sa peinture et s'établie sa réputation de Séoul à Lille, de Séte à Dubaï..
A premiére vue, l'abstraction et la ligne sont ses bases.Pourtant, à décoder les mouvements de la couleur, des voiliers se dessinent et, en fond, posées sur la même ligne d'hôrizon, des villes hautes en tours , façon New York...
"Abstrait avec un figuratif caché" dit-il au visiteur qui s'interroge.Une belle exposition ou il est bon de se faire embarquer.
Bigitte Tempestini journaliste